Irak : l’héritage empoisonné de George W. Bush

Par Rafael Jacob
L'actualité

Les États-Unis ont rarement eu plus d’amis qu’au lendemain des attentats du 11 septembre 2001. Même des régimes ennemis de longue date, de Cuba à la Corée du Nord, avaient condamné les attaques et pris le parti de l’Oncle Sam. Vladimir Poutine avait été le premier leader mondial à offrir les condoléances de son pays à son homologue George W. Bush, avant de l’appuyer dans sa lutte contre le terrorisme.

Tout ce capital de sympathie a cependant été liquidé avec l’invasion de l’Irak deux ans plus tard. 

1er mars
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